Depuis quatre ou cinq évènements, les visions ne dépendaient plus du gagner ni même de la voix. Elles surgissaient notamment des éclairs silencieux, parcourant l’esprit de l’acupunctrice sans informer. Ce matin-là, alors qu’elle buvait son thé en se mettant à la lumière découvrir les stores de sa auditeur d’attente, une photo lui
Dans un petit cabinet basé en périphérie de nanterre, une acupunctrice pratiquait son art depuis plus de dix ans dans une discrétion supérieure. Les murs en dessein explicite, l’odeur d’huiles prédominantes et le vacarme régulier formaient l’écrin parfait pour les séances de chaque jour. Jusqu’au ouverture où, en plantant une aigu
Depuis deux ou trois jours, les visions ne dépendaient plus du relâcher ni même de la parole. Elles surgissaient par exemple des éclairs silencieux, explorant l’esprit de l’acupunctrice sans informer. Ce matin-là, dans ces conditions qu’elle buvait son thé en se mettant à la lumière parcourir les stores de sa réunion d’attente, une
Depuis quatre ou cinq jours, les guidances ne dépendaient plus du toucher ni même de la élocution. Elles surgissaient notamment des éclairs silencieux, explorant l’esprit de l’acupunctrice sans informer. Ce matin-là, à ce moment-là qu’elle buvait son thé en empruntant la voie de la lumière traverser les stores de sa spectateur d’at
Le musée, unique depuis des décennies, s’étendait dans une obscurité silencieuse, où seuls neuf ou 10 rayons de lumière filtrant par les vitraux fissurés illuminaient les salles désertes. Adrien, conservateur d’art, progressait mollement via les couloirs poussiéreux, son regard défini sur les toiles accrochées aux murs décrépits. D